Les investissements directs étrangers, la géopolique et l'investigation privée

La nouvelle triangulaire du risque

Emeline, juillet 2025

Dans un contexte de mondialisation ultra-concurrentiel, les entreprises cherchent à conquérir de nouvelles parts de marché à l’international. Ce principe de libre-échange favorise la mise en place plusieurs stratégies d’expansion, dont les investissements directs étrangers (IDE).

Néanmoins, sous le prisme d’intelligence économique ou « business intelligence », ces investissements ne sont pas que des flux de capitaux. Certes, bénéfiques pour une ou plusieurs Économies, ils peuvent être également synonymes de prédation voire pillage économique.

La frontière entre pouvoir économique et puissance politique est très fine. Et cette frontière est d’autant plus floue lorsque l’investissement émane d’un fonds souverain ou d’une entreprise para-étatique étrangère. Chaque rachat d’entreprise, chaque implantation étrangère, chaque prise de participation peut masquer une volonté :

  • D’influencer,
  • De s’approprier du savoir-faire
  • De capter des actifs stratégiques.

Observer les investissements étrangers, c’est comprendre comment les économies sont interconnectées  entre elles. Aussi, cela permet d’avoir une « petite idée » des stratégies à long terme de certains États. Les IDE, considérés comme un réel soft power , leur finalité est de défendre leurs propres intérêts en s’appuyant sur leurs champions économiques.

Quid des intérêts économiques des entreprises ? En quoi les acteurs du renseignement privé pourraient les aider ?

Les investissements directs étrangers

Quesako ?

Les IDE sont, selon la Banque de France, « des investissements internationaux par lesquels des entités résidentes d'une économie acquièrent ou détiennent le contrôle ou une influence importante sur la gestion d’une entreprise résidente d'une économie tierce ». Ainsi, cela concerne toutes les implantations durables d’une entreprise dans un pays étranger, en prenant le contrôle d’une filiale ou en créant une structure locale .

Pour ce faire, l’investisseur étranger doit détenir au minimum 10% du capital ou de droits de vote de l’entreprise investie. Cela suppose donc une gestion directe sur l’entité sur du long terme.

 

Concrètement, il existe plusieurs formes d’IDE :

  • La création d’une nouvelle filiale.
  • L’acquisition d’une entité déjà existante. Nous pouvons ainsi parler de fusion-acquisition (FUSAQ).
  • L’apport de fonds pour augmenter les capacités de production d’une filiale existante.
  • L’injection de fonds pour soutenir l’activité d’une filiale en difficulté.

 

De nombreux exemples d’investissements directs étrangers en France ont fait notamment parler d’eux dans la presse ces dix dernières années.

Un cas d’école en intelligence économique et connu de tous, est l’affaire ALSTOM (2014-2015). Pour rappel les États-Unis via General Electric ont coordonné les leviers juridiques, économiques, politiques et informationnels au détriment d’un acteur stratégique français qu’est Alstom. Concurrent direct et pesant lourd sur la scène économique internationale, les américains ont tout simplement voulu neutraliser l’industriel français en… le rachetant. 

 

Les conséquences de cette prédation économique en France ?

  • Perte de souveraineté nationale : les turbines sont sous pavillon américain
  • Perte de compétitivité : affaiblissement d’un « champion français ».
  • Réveil tardif de l’État français.

À l’inverse, un autre cas d’un investisseur français à l’étranger peut être repris : le groupe Bolloré en Afrique. Ce conglomérat français a investi massivement pendant plus de 30 ans, en développant des infrastructures logistiques critiques sur le continent africain.

L’influence de Bolloré était à la fois économique, politique (via le soutien d’élites locales) et stratégique, car ses actifs logistiques formaient une colonne vertébrale du commerce intra-africain.

À partir de 2015, l’influence croissante de la Chine en Afrique (dans le cadre des Nouvelles Routes de la Soie) a généré un jeu de rivalités pour le contrôle des infrastructures stratégiques. Par la suite, une affaire de corruption a grandement affaibli le groupe. Cela leur a valu une cession d’une filiale en 2022 a une entreprise Suisse et donc la fin de leur présence et contrôle des activités portuaires et logistiques africaines.

Globalement, l’OCDE a analysé qu’en 2024, les flux mondiaux d’IDE ont augmenté pour atteindre 1 485 milliards USD. Néanmoins, ces chiffres sont relativement bas comparés à l’année 2015 comme nous pouvons le visualiser grâce au graphique ci-dessous.

© Graphique disponible sur le site de l’OCDE

Toujours la même source, les trois premiers pays qui accueilleraient les investisseurs étrangers la même année sont :

  • Les États-Unis,
  • Le Luxembourg,
  • Le Canada.

 

© Graphique disponible sur le site de l’OCDE

Pour autant, ces données seront intéressantes à comparer dans quelques années, notamment dès qu’il se possible d’analyser les effets de la politique économique de Trump.

Effectivement, un article de L’express datant de juin 2025 indiquerait qu’une clause dans le projet de loi budgétaire aurait un impact direct sur l’attractivité de certains actifs américains. Cette mesure « contre les impôts étrangers injustes » prévoirait une surtaxe de 5 à 20% sur les revenus d’investisseurs issus de pays discriminatoires. Donc des États qui appliquent une fiscalité « injuste » aux entreprises américaines, comme par exemple l’UE et sa taxe GAFAM.

Cette guerre commerciale américaine qui s’intensifie ne met pas tout le monde d’accord aux USA. Tandis qu’au sommet d’investissement SelectUSA, organisé au Maryland du 11 au 14 mai 2025, aurait été marqué par le pessimisme des participants ; le Secrétaire américain au Trésor aurait annoncé en parallèle que la politique de Trump (dérèglementation, loi fiscale, etc.) permettra d’attirer de nombreux investisseurs et atteindre du croissance du PIB 3% en 2026.

Concernant la France, l’OCDE et EY confirment qu’elle est le premier pays européen à accueillir les IDE en 2024 et cela depuis 2019.

Pourtant, cette « belle » annonce contraste avec les données réelles macroéconomiques : déficit économique français et chômage élevé.

 

Quels sont les bénéfices escomptés des IDE sur le plan économique et quels risques sont à prendre en compte ?

Entre levier de développement et cheval de troie géopolitique

Derrière ces investissements réalisés, cela implique qu’il faut savoir en décoder certains.

  • Certains investissements sont purement financiers, portés par des fonds à la logique capitalistique neutre.
  • D’autres s’inscrivent dans des stratégies d’État : Chine (Belt & Road Initiative), Émirats (rachat de chaînes logistiques), Russie (relocalisation d’actifs via des hommes de paille), USA (protection des technologies sensibles via le CFIUS).

 

Ces investissements, qu’ils soient d’origine étatiques ou privés, peuvent être aussi bien bénéfiques que risqués pour un pays.

Effectivement, grâce aux IDE, le premier avantage est le transfert de technologies et de compétences. Cela permet ainsi d’accélérer l'innovation et améliorer la compétitivité des entreprises locales. Le second serait tout de même la création d’emplois, que ce soit en termes de quantité qu’en qualité des emplois créés.

Si un paradoxe sur le marché du travail s’observe, ce serait lié aux politiques publiques qui se cantonne à une vision court terme que long terme. La France est attractive pour accueillir des investisseurs étrangers,  mais aucune remise en question sur les défis structurels comme la réforme du système éducatif ou l'amélioration de la compétitivité globale de l’économie.

Elle a également une autre stratégie, qu’est d’investir à l’étranger (IDE sortants) plutôt que d’augmenter les IDE entrants. Concrètement, cela revient à favoriser la création d’emplois et de valeur ajoutée hors de l’Hexagone, au détriment du tissu économique national. Une stratégie qui contribue à expliquer le paradoxe français : première place européenne en termes d’IDE entrants, mais avec une croissance et un emploi stagnants.

Et d’un autre côté, ces investissements étrangers ont des inconvénients à ne pas prendre à la légère. Ils exercent une certaine pression concurrentielle sur les entreprises locales, ce qui les poussent à les fermer définitivement. Comment une petite entreprise peut rivaliser contre une PME qui a le soutien d’un investisseur qui a les fonds nécessaires pour être plus  compétitif ?

Ensuite, il existe des risques de rapatriement des bénéfices dans les sociétés-mères (donc étrangères). Cela diminue considérablement les gains économiques du pays hôte.

Enfin, et c’est peut-être le plus structurant, un pays trop dépendant des IDE (qu’ils soient entrants ou sortants) s’expose à une double vulnérabilité :

  • Économique, puisque son tissu productif dépend de capitaux étrangers ;
  • Politique, car ces flux peuvent servir des intérêts géopolitiques exogènes (soft power, lobbying).

 

Cette vulnérabilité économique s’exprime particulièrement dans certains secteurs stratégiques — ceux qui concentrent le plus de savoir-faire, d’innovation ou de rayonnement à l’international. Sans surprise, ce sont eux qui attirent massivement les IDE.

Les principaux domaines sous le viseur des investisseurs étrangers sont :

• Le luxe (image de marque, savoir-faire artisanal français),

• L’énergie (nucléaire, renouvelables, réseaux de distribution),

• La technologie (IA, cloud, cybersécurité, semi-conducteurs),

• L’agroalimentaire (qualité des terroirs, chaînes de production).

 

Ces secteurs, en particulier lorsqu’ils sont associés à des actifs immatériels ou à des brevets sensibles, peuvent devenir de véritables points d’entrée pour des stratégies d’influence économique ou politique, parfois au détriment de la souveraineté nationale.

La vulnérabilité politique, quant à elle, elle est le fruit d’un ancrage géopolitique déguisé en une simple opération financière. Ces stratégies d’investissements sont loin d’être neutres. Instruments de soft power, ce sont des leviers d’influence et de pression diplomatique lorsqu’un pays détient des infrastructures critiques et stratégiques. Le cas de la prise de participation chinoise (67% !) dans le port du Pirée (Grèce) est emblématique. Porte d’entrée des marchandises en provenance du canal de Suez, elle a permis à la Chine de disposer d’un levier sur la politique étrangère de la Grèce. Grâce à cette influence, la Grèce a bloqué en 2017 une déclaration européenne à l’ONU critiquant les violations des droits humains en Chine. Cet événement a encore une fois révélé la vulnérabilité de l’UE face à des stratégies d’acquisitions ciblées, en particulier dans des pays touchés par la crise économique.

 

D’autres exemples peuvent être repris comme le port de Tartous (Syrie) par la Russie ou le Cloud Act (contrôle invisible via les GAFAM) par les USA.

En 2023, le Directeur adjoint du centre d’études prospectives et d’informations internationales avait déjà intégré la notion de géopolitique comme un des deux axes majeurs de transformation des IDE.

C’est pourquoi, face à ces inconvénients majeurs, de nombreux pays durcissent les contrôles des investissements directs étrangers pour renforcer la sécurité nationale contre notamment l’espionnage économique (cas de Huawei et de ses infrastructures 5G).

L’État français a mis en place quelques outils juridiques pour filtrer ces prises de participation étrangères :

 

Au sein de l’Union Européenne (UE), un filtrage des investissements étrangers est également mis en place depuis la 2019, grâce au Règlement UE 2019/452. Cet outil juridique a permis à une entreprise de semi-conducteurs allemande, de se protéger d’un rachat chinois en 2021 en invoquant la nécessité de préserver la souveraineté technologique et industrielle de l’Europe.

 

Aujourd’hui, ces entreprises ont une réelle problématiques majeure. Elles doivent trouver un équilibre pour répondre aux enjeux :

  • financiers (attirer les investisseurs, entrer en bourse) ;
  • réputationnels et économiques (partager certaines informations pour rassurer les investisseurs sans trop en dire sur ses stratégies et informations confidentielles que les concurrents pourraient réutiliser

 

Un jeu d’équilibriste entre transparence et confidentialité, valorisation et protection, qu’un expert dans le renseignement d’affaires privé ou investigations privées serait à même de conseiller et d’accompagner les décisionnaires.

Le rôle pivot de l'investigation privée

Intelligence économique et détective privé : du radar au filtre stratégique

Dans un contexte où la protection du capital matériel et immatériel des entreprises est devenue un enjeu crucial face aux risques de prédation économique orchestrée par certains États, l’investigation privée (intelligence économique et détective privé) occupent une place stratégique.

Alors que les fonds d’investissement internationaux jouent souvent le rôle d’intermédiaires entre des entreprises de différentes nationalités, ils se révèlent être eux-mêmes des acteurs géopolitiques à part entière, dont la nature et les véritables intentions doivent impérativement être analysées.

Au-delà des analyses macroéconomiques et géopolitiques, une lecture plus fine de ces investissements exige des investigations ciblées. C’est là que l’investigation privée, souvent reléguée à des enjeux individuels ou commerciaux ponctuels, prend toute sa dimension stratégique. Elle permet de révéler les motivations réelles, les réseaux d’influence, voire les risques de captation technologique ou d’opérations d’influence masquées.

L’investigation privée répond ainsi à la question fondamentale que se posent aujourd’hui les dirigeants et autorités de contrôle. Par exemple, un fonds d’investissement qui souhaite racheter une société française agit-il en toute indépendance ? Ou bien est-il le porte-voix indirect d’un État tiers, utilisant des structures opaques et des réseaux d’influence pour mener une opération d’acquisition stratégique ?

 

Le travail de l’acteur dans le renseignement d’affaires privé porte sur plusieurs axes cruciaux :

  • L’identification des bénéficiaires économiques finaux, souvent masqués derrière des montages complexes,
  • L’analyse des réseaux de contrôle croisé à travers les sociétés mères, filiales ou entités apparentées,
  • La cartographie détaillée des risques, qu’ils soient réputationnels, juridiques ou politiques,
  • La mise en contexte géopolitique, notamment en tenant compte des sanctions internationales, des stratégies d’influence étatique ou encore du niveau de corruption dans le pays d’origine.

 

Ici, la collaboration entre expert en intelligence économique et détective privé s’impose comme une évidence. Tandis que l’un apporte une grille de lecture globale, stratégique à moyen/long terme, l’autre sera le capteur sur le terrain qui ira dans les détails et mettra en lumière les signaux faibles.

Dans ce contexte, des cas typiques de « faux investisseurs » illustrent bien la nécessité de faire appel à l’investigation privée.

 

Grâce à une analyse et enquête en amont, des signaux d’alertes majeurs peuvent être recensés :

  • Une participation antérieure dans une entreprise rapidement liquidée après transfert stratégique de brevets,
  • Des liens directs/indirects avec un fonds souverain ou des personnes physiques sous sanctions économiques ((OFAC, UE, ONU)), comme la China Investment Corporation (CIC), des Fonds iraniens liés aux Pasdarans ou Fonds d’investissement libanais ou vénézuéliens
  • Un historique de litiges et de contentieux de l’investisseur
  • Des financements via des circuits bancaires suspects

 

Sans cette vigilance issue de l’investigation privée, la société cible aura des difficultés à anticiper un tel piège.

Conclusion

Vers une alliance entre acteurs publics et privés ?

Face à la sophistication croissante des montages financiers internationaux et à la subtilité des stratégies d’influence économique, les professionnels du renseignement d’affaires privé s’imposent comme des acteurs-clés de la protection économique, aux côtés des dispositifs étatiques.

Loin d’agir en opposition, ils forment un écosystème complémentaire et agile, capable d’intervenir en amont pour :

  • Nourrir les directions juridiques, compliance ou M&A avec des informations sensibles à forte valeur stratégique,
  • Détecter les signaux faibles : liens occultes, conflits d’intérêts camouflés, passifs judiciaires à l’étranger,
  • Appuyer les prises de décision lors d’autorisations réglementaires, de comités d’investissement ou de situations de crise.

 

Ainsi, en complément du SISSE (Service de l’information stratégique et de la sécurité économiques) ou de l’Agence des participations de l’État (APE), le renseignement économique privé agit comme un filet de sécurité stratégique. Il participe activement à la préservation des intérêts économiques nationaux et de la souveraineté, dans un monde où les frontières entre finance, géopolitique et sécurité sont devenues poreuses.

Dans plusieurs pays comme les États-Unis (via le CFIUS), le Royaume-Uni ou encore l’Allemagne (BAFA), l’État collabore activement avec le privé pour renforcer le contrôle des investissements étrangers :

  • Des cabinets spécialisés en due diligence stratégique sont mandatés avant même l’autorisation d’investissement.
  • Des partenariats public/privé structurés permettent de mutualiser les expertises et de réduire les angles morts.

 

Et la France ? Encore trop timide. Mais le besoin devient urgent, en particulier dans les secteurs sensibles où :

  • Les menaces économiques ne sont pas toujours illégales… mais bien réelles,
  • Le “petit investisseur” peut dissimuler un agenda étatique hostile.

 

Certaines opérations peuvent également servir de couverture à des actes d’espionnage industriel ou de captation de savoir-faire.

 

En résumé : ne pas enquêter lors d’un IDE, c’est jouer à la roulette russe. La vraie question n’est pas « combien », mais « qui » et « pourquoi ».

Les acteurs du renseignement d’affaires privé (intelligence économique et détective privé) doivent aujourd’hui être intégrées comme des maillons centraux dans toute stratégie de souveraineté économique. Non seulement pour protéger, mais aussi pour anticiper, qualifier et orienter les décisions économiques majeures.

Pour aller plus loin :

 

© Sur le libre échange : https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMDictionnaire/1693

© Sur les accords européens de libre-échange https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/les-accords-europeens-de-libre-echange-en-3-minutes/

© Formes d’IDE selon l’OCDE : OCDE, Définition de référence des investissements directs internationaux, 4e édition, 2008, Paris

© Travaux de l’OCDE sur les investissements : https://www.oecd.org/fr/themes/investissement.html

© Contrôle des investissements étrangers aux USA :  https://relians.fr/cfius-le-controle-des-investissements-etrangers-aux-etats-unis/

© L’influence des politiques sur les échanges et l’investissement direct étranger : https://shs.cairn.info/revue-economique-de-l-ocde-2003-1-page-7?lang=fr

© La France résiliante auprès des investisseurs étrangers en 2024 : https://media.businessfrance.fr/actualites/la-france-resiliente-en-2024-aupres-des-investisseurs-etrangers-dans-un-contexte-mondial-incertain-e308a-0fea0.html

© Rapport d’information concernant l’évaluation du contrôle des investissements directs étrangers en France : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cec/l17b1453_rapport-information

© Port de Pirée en Grèce sous contrôle chinois : https://thegoodlife.fr/le-piree-port/

© Chine Cheval de Troie en Grèce : https://www.franceinfo.fr/replay-radio/un-monde-d-avance/xi-jinping-en-grece-cheval-de-troie-des-investissements-chinois-en-europe_3678003.html

© Protection des industries clés en Allemagne, renforcement du contrôle des acquisitions étrangères : https://www.portail-ie.fr/univers/enjeux-de-puissances-et-geoeconomie/2019/protection-des-industries-cles-lallemagne-renforce-le-controle-des-acquisitions-etrangeres/

© Filtrage IDE au sein de l’UE : https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/filtrage-des-investissements-etrangers-a-quoi-sert-le-systeme-d-alerte-de-l-ue/#:~:text=En%202021%2C%20le%20flux%20des,la%20Cour%20des%20comptes%20europ%C3%A9enne

© Cas de l’Allemagne et de la Chine en 2021 (semi-conducteurs) : https://www.lepoint.fr/monde/l-allemagne-defend-ses-semi-conducteurs-face-aux-appetits-chinois-09-11-2022-2497149_24.php

© Filtrage des IDE  https://www.optionfinance.fr/entreprise-finance/le-filtrage-des-investissements-etrangers-nest-pas-juste-une-arme-pour-se-proteger-de-la-chine-ou-de-la-russie.html

© DG Trésor (Bercy) qui contrôle les IDE : https://www.tresor.economie.gouv.fr/services-aux-entreprises/investissements-etrangers-en-france

© BPI france pour aider les IDEF : https://www.bpifrance.fr/catalogue-offres/assurance-investissement

 

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